1 |
vanclik |
|
|
2 |
wanclik |
https://fr.wikipedia.org/wiki/Baronne_de_Sternberg |
|
3 |
dna |
Sommaire |
|
4 |
wanc |
masquer |
|
5 |
otavio |
· |
|
6 |
wanik |
Début |
|
7 |
wanc |
http://twanclik.free.fr/2/napoleon1er.htm |
|
8 |
graf |
· |
|
9 |
gian
gastone |
Une aristocrate d'humble origine |
|
10 |
autres |
|
|
11 |
count |
· |
|
12 |
chiapinni |
Une substitution d'enfants |
|
|
10a |
|
|
|
chinois |
· |
|
|
luigi.wanclik |
Maria-Stella d'Orléans ? |
|
|
nindex |
|
|
|
chinois |
· |
|
|
japonais |
Étude du cas |
|
|
arabe |
|
|
|
luigi |
· |
|
|
smar.france |
Notes et références |
|
|
instrum.elec |
|
|
|
beaufort |
· |
|
|
delacour |
Bibliographie |
|
|
clausell |
|
|
|
g7-italia |
· |
|
|
leibniz |
Liens externes |
|
|
bridge-edit |
|
|
|
|
Baronne de Sternberg |
|
|
|
|
|
|
|
Maria Stella Sternberg |
|
|
|
|
|
|
|
Titre de noblesse |
|
|
|
Baronne |
|
|
|
à partir de 1786 |
|
|
|
|
|
|
|
Biographie |
|
|
Naissance |
16 avril 1773 |
|
|
|
|
|
Toscane ou Modigliana |
|
|
|
|
|
Décès |
28 décembre 1843 |
|
|
|
|
|
Ancien 1er arrondissement
de Paris |
|
|
|
|
wanicz.1/00. |
Nom dans la
langue maternelle |
|
|
|
|
|
Nom de naissance |
|
|
|
|
|
Nationalité |
|
|
|
|
|
Activité |
|
|
|
|
|
Famille |
Wynn family (d), famille
von Ungern-Sternberg |
|
|
|
|
|
Père |
|
|
|
|
|
Mère |
|
|
|
|
|
Fratrie |
Louis-Philippe Ier |
|
|
Antoine d'Orléans |
|
|
Adélaïde d'Orléans |
|
|
Mademoiselle d'Orléans (d) |
|
|
Louis-Charles d'Orléans |
|
|
|
|
|
Conjoints |
Thomas
Wynn (de 1786 à 1807) |
|
|
Eduard Freiherr von
Ungern-Sternberg (d) (à partir
de 1810) |
|
|
|
|
|
Enfants |
Thomas
Wynn (en) |
|
|
Spencer
Bulkeley Wynn (en) |
|
|
Edward Freiherr von
Ungern-Sternberg (d) |
|
|
|
|
|
150 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Titre honorifique |
|
|
|
La très honorable |
|
|
|
à partir de 1786 |
|
|
|
|
|
|
|
Maria-Stella Petronilla
Chiappini, par son mariage Lady Newborough puis baronne
de Sternberg, est née le 16 avril 1773 à Modigliana (Italie) et morte le 28
décembre 1843. |
|
|
|
Elle est à l'origine d'une
énigme historique, puisqu'elle affirma être la fille du duc de
Chartres, Louis Philippe d'Orléans (1747-1793), futur Philippe Égalité, et de la duchesse, née Louise Marie Adélaïde de Bourbon ;
dans ce dessein, elle chercha à contester la naissance, en octobre 1773, au Palais-Royal, du duc Louis-Philippe
d'Orléans (futur roi des Français Louis-Philippe Ier) et à se faire
reconnaître comme la fille légitime du duc et de la duchesse de Chartres. |
|
|
|
Une aristocrate d'humble
origine[modifier | modifier le code] |
|
|
|
Maria-Stella Petronilla est née
le 16 avril 1773 à Modigliana, petite ville italienne située dans les Apennins, appartenant au Grand-duché de Toscane (Romagne
Toscane) mais dépendant du diocèse de Faënza, dans les États pontificaux. Son père,
Lorenzo Chiappini (1739 + 1821), est geôlier, et sa mère se nomme Vicenza
Diligenti (1745 + 1820). Plus tard, Lorenzo Chiappini deviendra chef de la
police de Florence,
où il mourra en 1821. |
|
|
|
Un autre enfant naît au sein du
ménage Chiappini : un garçon, Thomas Chiappini, qui deviendra avocat à
Florence. |
|
|
|
La jeune femme est remarquée
par un aristocrate anglais, Sir Thomas Wynn of Glynllifon, Lord Newborough (1736-1807), dont la famille descend des anciens princes du Pays de Galles ; il l'épouse
et décède en lui laissant, outre deux fils, une immense fortune. Maria-Stella
Chiappini se remarie en 1810 à un aristocrate russe, le baron de Sternberg, dont elle
aura un fils. |
|
|
|
Une substitution d'enfants[modifier | modifier le code] |
|
|
|
Selon
la baronne de Sternberg, en 1821, soit peu de temps avant de mourir,
Lorenzo Chiappini lui révèle par écrit qu'il n'est pas son vrai père et qu'il
a échangé à sa naissance, moyennant finances, le garçon dont sa femme avait
accouché contre la fille que l'épouse d'un homme de haute naissance, de
passage à Modigliana, avait mise au monde. Cette lettre serait parvenue à la
baronne quelques jours après la mort de celui qu'elle supposait être son
père. |
|
|
|
Selon
les recherches qu'effectue ensuite la baronne, la châtelaine des lieux
en 1773, la comtesse Borghi, accueillait fréquemment un couple
d'aristocrates, appelés comte et comtesse de Joinville. Le comte de Joinville
serait alors entré en contact avec le geôlier Chiappini et, prétextant qu'il
avait impérativement besoin d'un héritier pour toucher un gros héritage,
l'aurait persuadé de procéder à un échange : si l'enfant à naître de la
comtesse était une fille, et si celui à naître de l'épouse Chiappini était un
garçon, les nouveau-nés seraient échangés. Chiappini aurait accepté,
moyennant une forte rétribution et la petite Maria-Stella fut déclarée aux
autorités locales comme la fille de Lorenzo et Vicence Chiappini, alors
qu'elle aurait été en réalité la fille du comte et de la comtesse de
Joinville. L'échange aurait eu lieu au Palais Borghi. |
|
|
|
Cet échange aurait été connu
des habitants de la région et aurait provoqué une véritable émeute :
poursuivi par la clameur publique, le comte de Joinville aurait dû se
réfugier au monastère de Brisighella (voisin de Modigliana), où il aurait été
arrêté puis retenu pendant trois jours comme otage dans la Maison commune,
jusqu'à ce que l'intervention des autorités locales permette sa libération,
puis son départ avec son épouse et l'enfant. |
|
|
|
D'après ces éléments, la
baronne de Sternberg fait paraître en juillet 1823, une annonce dans plusieurs journaux (dont La Quotidienne) dans laquelle elle fait part de sa recherche d'un certain
Louis, Comte de Joinville. Elle obtient, de la part du tribunal ecclésiastique de Faenza, la rectification de son
état civil, le 29 mai 1824, ce tribunal ordonne que l'on rectifie son
acte de naissance en la portant « fille des
époux Joinville ». Le grand-duc de Toscane
écrit ensuite au curé de Modigliana pour interdire la transcription du
jugement. |
|
|
|
Maria-Stella d'Orléans ?[modifier | modifier le code] |
|
|
|
La baronne de Sternberg se
convainc que le comte de Joinville, son père, n'est autre que Philippe d'Orléans, futur Philippe
Égalité, et que Louis-Philippe, enfant substitué destiné à assurer la lignée des Orléans,
n'est qu'un usurpateur. |
|
|
|
Sa théorie se fonde sur les
éléments suivants : |
|
|
|
·
le titre de prince de Joinville appartient à la famille Orléans
depuis la fin du xviie siècle ; |
|
|
|
·
Philippe d'Orléans a effectué, notamment en
Italie, de nombreux voyages sous le nom de comte de Joinville ; |
|
|
|
·
l'emploi du temps de Philippe et Adélaïde d'Orléans indique qu'ils auraient
pu être en Italie en avril 1773, permettant à la duchesse d'accoucher et
procéder à la substitution. |
|
|
|
La baronne de Sternberg demande alors aux tribunaux français
d'accorder l'exequatur à la décision du tribunal de Faenza, puis de la
reconnaître comme la fille légitime de Philippe d'Orléans. Ses demandes sont
refusées, en partie grâce aux actions de son frère, Thomas Chiappini, qui
parvient à faire contrecarrer, par les tribunaux florentins, la décision
rendue à Faenza. Pour justifier cette opposition, Thomas Chiappini avance
comme argument que son père, paralysé de la main droite, n'a pu être l'auteur
de la lettre adressée à Maria-Stella et que ce document est donc un faux. |
|
|
|
La baronne meurt le 28
décembre 1843, en état de léger trouble mental, sans cesser de clamer son
appartenance à la famille Orléans. Elle est inhumée à Paris, au cimetière
Montmartre. À sa mort, l'ensemble de ses papiers personnels est saisi par la
police. |
|
|
|
De nombreux pamphlets et
ouvrages seront ultérieurement publiés par les opposants à la monarchie de Juillet afin
d'accréditer l'histoire de la substitution de « Marie-Étoile
d'Orléans » contre « le fils Chiappini ». L'affaire renaîtra
essentiellement en 1883, après la mort d'Henri d'Artois, « comte de Chambord », permettant aux légitimistes de contrer les
prétentions de la famille Orléans à la succession
au trône de France. |
|
|
|
Étude du cas[modifier | modifier le code] |
|
|
|
Selon l'auteur Maurice Vitrac,
qui écrit au début du xxe siècle un ouvrage sur le sujet, un dossier trouvé dans
les Archives de Brisighella contiendrait un certain nombre de lettres,
écrites par le vice légat de Ravenne au gouverneur Niccolo Perelli,
démontrant que Maria-Stella Chiappini aurait été la fille d’un aristocrate de
Rimini, le comte Carlo Battaglini ( + 1796) et d’une femme inconnue,
probablement sa maîtresse, désireuse d'éviter un scandale en dissimulant son
accouchement. Il est toutefois difficile de comprendre pour quelle raison le
comte et sa maîtresse auraient procédé à cet échange de nouveau-nés, qui ne
dissimulait pas l'accouchement et créait, en outre, un scandale. |
|
|
|
L'historien français André Castelot, dans son ouvrage de
1951 consacré à Philippe d'Orléans (Philippe Égalité, le prince
rouge), estime que Maria-Stella Chiappini ne peut
être la fille de Philippe d'Orléans : les registres et archives de la
Cour de France, conservées aux Archives
nationales, démontrent en effet que si Philippe
d'Orléans a pu amené son épouse à Modigliana, au cours du mois d'avril 1773,
il lui fut impossible de repartir la chercher comme le présente l'histoire de
l'échange. Quant à Adélaïde d'Orléans, il est impossible qu'elle ait été
enceinte avant le printemps 1773 (son état aurait été nécessairement révélé lors de son
entrée dans la franc-maçonnerie, en février 1773, au cours de laquelle
elle devait se présenter en vêtements simples) et donc de donner le jour à un
enfant en avril 1773. Une grossesse commencée en janvier de cette même
année et aboutissant, en octobre suivant, à la naissance de Louis-Philippe
est en revanche tout à fait possible. |
|
|
|
L'étude des archives royales,
ainsi que des archives de la famille Orléans conservées aux Archives
Nationales, permet également d'écarter toute idée d'une naissance dissimulée
de l'enfant Orléans en avril 1773, naissance qui n'aurait été révélée
que seulement six mois plus tard. Toutefois, Castelot ne remet pas en cause
le fait qu'il y ait eu échange d'enfants. Selon lui, le véritable père de
Maria-Stella aurait été un souverain local (Este, Parme, Modène,
Deux-Siciles, Toscane) ou - plus vraisemblablement - d'un membre d'une
famille princière italienne, qui aurait utilisé le nom de comte de Joinville
pour dissimuler sa véritable identité - laquelle était connue des autorités
locales - soucieux d'assurer la pérennité de sa lignée. |
|
|
|
Notes et références[modifier | modifier le code] |
|
|
|
Bibliographie[modifier | modifier le code] |
|
|
|
·
André Castelot, Philippe
Égalité, le prince rouge, Libr. Acad. Perrin (voir
en particulier l'appendice, relatant en plusieurs chapitres les recherches et
conclusions menées par cet historien). |
|
|
|
·
Maurice Vitrac, Philippe
Égalité et M. Chiappini : Histoire d’une substitution, Éd. Daragon, 1907, p. 127 et s. |
|
|
|
·
La baronne de Sternberg,
Historia. |
|
|
|
·
J. Marseille & N. Laneyrie-Dagen, Les grandes énigmes, Larousse 1992. |
|
|
|
·
R. Ambelain, Crimes
et secrets d'état 1785-1830, Robert Laffont, 1980
(voir, en particulier, le chapitre intitulé : Le secret de la naissance
de Louis-Philippe, contestant les conclusions du livre d'André Castelot, cité
ci-dessus) |
|
|
|
·
A. Dumas, Mes
mémoires (1802-1830), Robert Laffont, Paris, 1989,
coll. « Bouquins » p. 613 et ss. |
|
|
|
Liens externes[modifier | modifier le code] |
|
|
|
·
Ressource relative aux beaux-arts |
|
|
|
|
|
|
|
o National Portrait Gallery |
|
|
|
·
Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste |
|
|
|
|
|
|
|
o Britannica [archive] |
|
|
|
·
Notices d'autorité |
|
|
|
|
|
|
|
o
VIAF |
|
|
|
o ISNI |
|
|
|
o BnF (données) |
|
|
|
o
IdRef |
|
|
|
o LCCN |
|
|
|
o
GND |
|
|
|
o WorldCat |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
brics
blochchain launch |
|
|
who owns the us debt |
|
|
dollard |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|